Revue du Lyonnais » série 1 - n°17 ( 1843 ) » pp.497

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menses développements que la presse a acquis de nos jours
ôtent une grande partie de leur utilité aux cours qui ne se dis-
tinguent pas des livres par une clarté supérieure, qui ne signa-
lent pas les idées intermédiaires dont ceux-ci ne peuvent tenir
compte, et qui n'offrent pas à l'esprit un aliment moins fort et
d'une digestion plus facile.
   Nous sommes confus de chicaner pour si peu un brave vé-
téran comme M. Reynaud ; mais il ne doit s'en prendre qu'à
lui-même. Pourquoi a-t-il tracé de (elle sorte les grandes l i -
gnes de son œuvre que, pour exercer la malignité dont nous
avons tous, tantque nous sommes, été abondamment pourvus,
ou est forcé de se rabattre sur les plus minces détails?

                                                   F.

  [Les cour* de MM. Démons, François. Eicchoff et BouiUier
au prochain numéro).