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234 « sans m'accorder aucun moyen de la rendre efficace ; je ne « puis résister au besoin d'offrir aux Lyonnais un nouveau « témoignage de mon vieil attachement. Ils daigneront, « je me plais à l'espérer, reconnaître le chantre de Notre- « Dame-de-Fourvières , lui tendre encore la main et l'en- « tourer de leur cordiale indulgence. Apôtre de la décen- « tralisalion , j'avais donné mon écrit consacré à la Bourgo- « gne , aux presses bourguignonnes ; à Lyon, j'ai voulu don- « ner ce petit ouvrage à ces presses lyonnaises qui, dès les « premiers temps de la typographie, étaient une des gloires « de la seconde ville du royaume. » Après cette flatteuse dédicace, nous trouvons — Paternos- ter;—c'est un opvscvle dans un autre opvscvle, tout-à -fait étranger au'sujet principal. C'est donc à la coquetterie pleine de bonté de M. Bard que nous devons de jouir à la fois de ses vers et de sa prose. Nous regrettons seulement de ne pouvoir en transcrire qu'une partie. PATER NOSTER. Paler nosler, — sur la fuyante rive D'eau, j'aperçois un fragile bateau Qui dérive Et puis s'abvme au fond de l'eau, Avec une voix plaintive. Pater noster, — penché sur une Lierre... — Bas... finissons, en poussant un sanglot, La pierre Sed f libéra t nos f a f malo. "J- Puis allons au cimetière. Voici venir maintenant — Consécration. — « Gloire, ô gloire à toi, ville de culte, de souvenirs, de « fêtes populaires, de touchants respects^de larges émotions, « de tièdes croyances. » ;—Nous supposons que tièdes est là pour chaudes ; mais M. Bard écrivait ceci sous l'influence de 33 degrés de chaleur ; tièdes lui a paru suffisant. « Gloire, ô gloire à toi, car tu personnifie à la fois l'église « vivante et la cité, l'église avec SaintJ e a n , le palais des