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169 La première de ces inscriptions, mutilée au commence- m e n t , est ainsi conçue: iAT T I GI Q JNATIONIS VRBICIl | QVI VIXIT AN. XXÃII j |M. VII D I E S XI - tCLAVDIA MAXIM All I î •MATER MISERISSU f 1 MA FILÃO DVLCISS j |MO ET SIBI VIVAà | POSTERISQ. SVIS P. G. ] j PRGC. T. S. E. V. G. j IET S. A. D. I C'est, comme on le voit, l'expression de la douleur de Claudia Maxima sur la tombe de son fils , Àtticus (i) Urbicus , ravi à sa tendresse , à l'âge de 23 ans , 7 mois et 10 jours. L'épithète de miserisshna , donnée à cette m è r e , est un bar- barisme : il fallait miserrima. On rencontre souvent sur les marbres a n t i q u e s , comme sur les marbres modernes^ des fautes du même genre. La place de contrôleur des inscriptions que le Caritidès de Molière (2) voulait qu'on créât pour lui à P a r i s , n'existait pas chez les anciens , et n'existe pas non plus chez nous. (1) Les mots Atlici... nalionis, si nous avons bien lu le premier de ces mots , indiquent peut-être que cet Urbicus était athénien. (2) Les Fâcheux , act, III, se. 2.