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1)U V. DE COLONIA. 151 le Mercure galant de i<>93; — la Physique occulte de M. l'abbé de Vallemont;— el enfin la Dissertation physique des talents supposés de Jacques Aymar, par le sieur de ***. Dans la Critique sincère, A. Renaud parle avec beaucoup d'éloges du docteur Chauvin, qui était disciple de Régis, dis- ciple lui-même de Descaries (1). Ce docte prêtre, nous ap- prend en outre qu'il préparait un Traité de physique (à ). Après avoir émis son opinion sur ces différents traités, l'au- teur termine son livre par une Dissertation intitulée : Décision de ce qu'on doit croire sur la Baguette, etii concliilque la cause des effets surprenants qu'elle opère, est très naturelle. 2° La mort de chaque jour, ou préparation de chaque jour au dernier jour de la vie; ibid. L. Lenglois, lt>93, in-12 pag. 191. 3° Manière de parler la langue françoise selon les différents styles, avec la critique de nos plus célèbres écrivains en prose et en vers; et un petit traité de l'Orthographe et de la prononciation françoise. Ibid Claude Rey 1 (-97, in-12 pag. 594. L'auteur avait dédié ce livre à Messire François-Joseph de Neltancourl d'Aussouville, de Vaubecourt, Docteur en Théologie de la Faculté de Paris, Conseiller el Aumônier du roi, abbé d'Ainay, et qui fut ensuile évéqne de Monlauban. L'auteur avail de- mandé quelques faveurs au Mécène qu'il s'était choisi, mais il ne put rien obtenir, quoiqu'il comptât bien sur l'épître dé- dicaloire, el sur l'honneur qu'il croyait faire à l'abbé d'Ainay. La Dédicace fut donc supprimée, el ne se trouva plus que dans quelques exemplaires déjà mis en circulation. L'abbé Joly convient que l'ouvrage, quoique peu connu, a cependant quelque mérite; il reproche à l'auteur d'avoir assez servilement copié les Entretiens d'Ariste et d'Eugène, la Manière de bien penser, les Pensées ingénieuses par le P. Bou- hours et les meilleurs écrivains français, mais en ne les cilanl que rarement. André Renaud tiiait néanmoins de son propre (0 l'ag. 3 7 . {'}) Ibid., pag. S».