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401 menl reçu par Christophe Vernel dans sa maison située près de la place des Terreaux. Jacques Flechet donna depuis aux Augustins Réformés une maison à la Croix-Rousse, et ils s'y établirent. LXXIII. PAROISSE DE NOTRE-DAME DE LA GUILLOTIÈHE. Le faubourg de la Guillolière (Le-Febvre écrit Guilleliere) élail considéré comme faisant partie du Dauphiné, plutôt que de Lyon, et ne jouissait pas des privilèges de la Ville. Notre- Dame était l'église paroissiale. LXXIV. Non loin de là , et sur le chemin de Vienne, on trouvait la chapelle de Sainle-Magdelcine, annexe de Sainl- Michel prés d'Ainay. LXXV. « Auprès de là , il y a une petite chapelle en l'Hôlel- Dieu des Lépreux, mais maintenant elle est presque va- cante. » LXXYI. Vers le milieu du faubourg, se trouvait l'église et couvent dit de Saint-Louis, où les Pénilenls du Tiers-Ordre de Saint-François s'établirent en 1G06, sous le 11. P. Vincent Massard, en un lieu qui leur fut donné par le duc de Mayenne. Un sieur d'Ausserry, ex-consul de Lyon, y lit bâtir depuis une « fort belle chapelle, » et le reste du couvent pour le loge- m e n t des Religieux. LXXVI1. Au dehors de la porle Saint-Georges, chapelle de l'Hôlel-Dieu Saint-Laurent-des-Yignes, bâtie par de Gadagne, pour la traite des maladies contagieuses. LXXYIII. Au même endroit et un peu plus haut, chapelle de Saint-Iloch, bâtie par MM. de la Yille, après un vœu fait en temps de pesle. Le premier vendredi d'après Pâques, on y allait en procession générale. Ainsi, en l'année 1627, Lyon comptait soixante et dix huit église ou chapelles, et quatorze paroisses. Avec le petit volume de Boinbourg, pour l'indication des tableaux et des peintures; celui de Clapasson pour la par- tie historique et les décorations ; celui de Le-Febvre pour ce qui regarde les noms des fondateurs el la topographie..