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(vulgairement Pipoy). C'était une Recluserie. Il n'y a pas
longtemps que celle chapelle, occupée par un atelier de
charpentier, a subi une transforma lion qui la rend difficile à
reconnaître.
   XXV. Dans le château de Pierre-Scise, une chapelle bâtie
avec la forteresse même.
   XXYI. Un peu plus loin, l'église el couvent des Cordelicrs
de l'Observance. M. l'abbé Pavy en a écrit l'histoire dans
la lievue du Lyonnais.
  XXVII. PAROISSE SAINT-NIZIEU. Eglise collégiale, el la plus
grande paroisse de la Ville, à l'époque de Le-Febvre. L'arche-
vêque de Talaru érigea Sainl-Nizier en Chapitre de Chanoi-
nes réguliers; ils étaient au nombre de quinze. Quelque lemps
après, inessire Jean Joli, chanoine et secretain (sacristain) de
lEglise, érigea deux nouveaux canonicals. Le chef du Cha-
pitre portail le titre de Secrelin. En 1G27, celle place élait
occupée par Nicolas Menard, docteur en théologie et vicaire-
général de l'Archevêché.
   XXVIII. ï o u l près de celle église, et sur la place qui est
devant la grande porle, se trouvait la Chapelle des Pèlerins
de Saint-Jacques ; elle s'appelait vulgairement Saiut-Iacome,
el avait élé fondée par MM. de Chaponay, On y lenail ancien-
nement le Consulat.
   XXIX. De l'autre côlé de Sainl-Nizier, en allant contre
le Plâtre., sur la place de la Fromagerie et au coin de la rue,
(,n rencontrait la Chapelle de Notre-Dame de Rue-Neuve.
C'était en 1037 la Chapelle des Charretiers, et ils y faisaient
célébrer leur office.
   XXX. Au bout de la rue Neuve, la Chapelle du Collège de
la Trinité. Rien de spécial dans notre auteur.
   XXXI. Un peu plus bas, l'église et le couvent de Saint-
bonaventure. M. l'abbé Pavy en a donné l'histoire; Lyon,
in-8°, 1835.
   XXXII. Dans l'enceinte du couvent des Cordeliers, du