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  DE LA VOÃX DITE SOMBRËE1.




  À l'époque de la réorganisation de notre Grand-Théâtre,
de l'ouverture du Cercle musical, au temps des concerts,
des soirées, des fêtes où la musique, le chant, en particulier,
jouent un rôle si important dans nos plaisirs, sont étudiés
avec tant d'efforts, appréciés avec tant d'art par la critique,
on ne lira peut-être pas sans intérêt l'analyse rapide du Mé-
moire de deux de nos compatriotes, sur la voix sombrèe. On
nous permettra de remonter au principe, à la cause de cer-
tains effets qu'on ne considère pas assez sous ce rapport, dont
on ne cherche point en général à se rendre compte, mais
qu'on juge simplement par l'impression qu'ils font sur nos
sens.—Ce travail, original dans ses recherches, neuf dans ses
résultats, est la conséquence d'expériences tentées par les ail-
  tO Analyse du Mémoire de MM. Diday el Pelroquin.