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288 LA REVUE LYONNAISE le passé en est un sûr garant, n'est capable de mener à bonne fin. Jadis, M. Rivadeneyra avait formé le plan de joindre quelques volumes catalans à sa grande bibliothèque des classiques castillans. Il nous semble impossible que les éditeurs barcelonais, entre les- quels on compte des hommes aussi intelligents et lettrés que M. Alvar Verdaguer, ne reprennent pas ce projet dont tous les Gatalanisans appellent de leurs vœux la réalisation, et qu'ils ap- puieraient volontiers de leur concours. ALBERT SAVINE.