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ISIGMOTHKQUES LYONNAISES. 159 aux bibliographes, qui a pour litre: L'Image de la Constance, où sont dépeintes les amours du brave Polidor avec la belle Pangeliris, ensemble le combat du baron d'Arion, et autres diverses poésies, par le S1 Yb >l de Montlimarl. Lyon. Rig ;ud, 1609. On voit figurer dans le THÉÂTRE : Le Mystère de la Concep- tion de la Vierge, de la Passion et de la Résurrection de Jésus- Christ, exempl. de Gaignat.— Le Mystère des Actes des Apôtres et celui de l'Apocalypse de saint Jean, édit. des Angeliers, ven- due 305 fr. Mac-Carthy. —• Le Mystère du Vieux Testament, vendu 301 fr. Scherer. — La Nef de Santé, édil. de Verard.— Le Théâtre complet de Larivey, etc., etc. Dans la classe des ROMANS, nous signalerons : Les deux tomes de la Toison d'Or, de 1517. — Le Melliadus de Leon- noys de Galliot du Pré. — Le Livre de Baudouin, comte de Flandre, imprimé sur le Rhosne (par Barthélémy Buyer), en 1478; vendu 179 fr. La l allière. —• La Fleur des batailles de Doolin, édit. d'Alain Lolrian, vendu 187 fr. Revoil. L'article le plus rare de toute celte classe est sans contredit celui qui figure sous le n> 969. Pétri de Boissal Opéra omnia. Sine loco et anno. In-folio. L'abbé d'Arligny parle longuement de cet ouvrage dans ses Mémoires (lome II, p. 1 17), et réfuie quelques assertions émises à son sujet par Niceron, l'abbé d'Olivel et l'abbé Le Clerc. C'est un in folio de 730 pages environ, tout en latin, et imprimé en italiques, sauf les scbolics. L'exemplaire vendu 81 fr. en 1781, à l'hôtel liullion, comme unique, ne l'est cer- tainement pas, car on en trouve un second à la Bibliothèque publique de Lyon, qui provient de la collection de M. Ada- moli. Il a été décrit par Delandine dans le Catalogue de cette bibliothèque (Belles-Lettres, t. I, p. 372). Celui de M. l'abbé Perrichon doit avoir passé dans la bibliothèque de feu M. de Verna, ancien député de Lyon. .le citerai comme hors ligne dans les autres classes : N" 4 1 — Missale scriplum anno 1641. In-fol. mar. r. Chef-