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PREMIÈRE TRADUCTION FRANÇAISE DES ÉPITRES D'ANGE POLITIEN KT DE SES CONTEMPORAINS ILLUSTRES PAR UN CHANOINE.DE SAINT-PAUL DE LYON EN 1682. \ SOIT? (1). The numerons correspondants of Po'itian, form a constellation of learned men whoae historiés, as intimately connected vrith that of the resival of letters, are desemng of more minute research than bas perhaps liilherto been bestowed upon them. GRESWEL, Memoirs of À. Politianus. Il faut dire, pour l'intelligence de ce qui va suivre, que le fils issu du mariage de Ferdinande avec Messire Jacques de Fontebrune, Nicolas-Jean-Louis, né en 1735 aux Sauva- ges, avait épousé, en 1760, Rose-Aimée Gaulne de Gaudi- nière et de la Fayolle, d'une noble famille du Forez, qui avait fourni des dignitaires à l'Eglise, aux armées et à la robe. Son aïeul était conseiller du Roy élu en l'élection de Roanne, sous le règne de Louis XIV j son oncle, garde du corps du Roy, et sa tante, prieure de Beaulieu(2). Du côté des mères, cette maison appartenait à ce qu'il y avait de plus ancien dans les trois provinces de Lyon- nais, Forez et Beaujolais. Au xme siècle, saint Louis, (1) Voir la précédente livraison. (2) Guilrien, Recherches Mslor. sur Roanne et le Roannais , publiées par Alph. Coste, p . 343. V. aussi d'Auriac, Armoriai de la noblesse de France, volume V, v° Gaulne.