page suivante »
ftwmiatiow litUvaivt». PAUL DE KOCK JUGÉ PAR LES ANGLAIS. Le fécond écrivain dont le nom figure en tête de cet article a été pendant longtemps en France le favori exclusif et chéri du large cercle des liseurs de romans. Mais, soit à cause du systématique mépris de Paul de Kock pour cette exagération maladive et pour cette extase mystique employée par les fon- dateurs de la nouvelle école littéraire, soit à cause de son in- différence apparente pour cette fatuité sublime, caraclère distinctif de la littérature de la Morgue(1), qui mêle le maté- rialisme le plus prononcé aux plus nobles sentiments, les cote- ries romantiques des salons parisiens ont péremptoirement dé- fi) Tous les mots en italique sont en français dans le texte anglais.