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produirait la vente des lerrains selon qu'on exécuterail l'un
ou l'autre plan.
  Le plan de 1840 laisserait libres
 2,595 mètres carrés de terrain à 500 fr. . . 1,297,500 fr,
   910           —        —      à 400 fr. . .   364,000

                 Total général du produit.    .   . 1,661,500

  Le plan proposé laisserait libre
 3,675 mètres carrés de terrain à 500 fr. . . 1,837,500 fr.
  Maintenant résumons les divers calculs qui précèdent et
comparons leurs résultats relativement à chaque système.
  Le plan de 1840 coûterait brut             2,050,000 fr.
  La revente des terrains disponibles pro-
duirait                                      1,661,000

                   Dépense définitive. . .          389,000
  Le plan proposé coûterait brut . . . .          2,250,000 f.
  La revente des terrains disponibles pro-
duirait                                            1,837,000

                    Dépense définitive. . .        413,000
  Résumé comparatif :
  Selon le plan proposé — dépense définit. . 413,000 f.
  Selon le plan de 1840 — d é p e n s e définit. . 389,000
   Différence en faveur du plan de 1840. . . .        24,000
   Ainsi, par une dépense réelle de quatre cent mille francs, la
ville pourrait exécuter de suite la régénération du quartier de
la Boucherie des Terreaux.
   Ainsi, des deux plans proposés pour celte régénération, le
plan nouveau coûterait vingt-quatre mille francs de plus que
celui de 1840, et pour vingt-quatre mille francs de plus la ville
serait dotée d'une amélioration infiniment plus rationnelle,
mieux entendue, plus grandiose, et plus complète.
   Ce résultat est concluant et décisif, et lors même qu'on
voudrait contester les bases sur lesquelles il repose, il n'en
resterait pas moins invariable; car, ces bases étantles mêmes