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DE JOSEPH DE MAISTBE. 229 en a reçu treize exemplaires. Je lui en ai emprunté quel- ques-uns en riant, pour satisfaire à mes offrandes premières et de devoir. J'espère qu'incessamment mon ballot de Cham- béry ou celui de M. l'abbé Valenti arriveront à leur des- tination. Mais que ne vous dois-je pas, Monsieur? Et qu'est-ce que ne vous doit pas mon ouvrage ? Il n'y a pas, je crois, une page qui ne vous soit redevable et qui ne vous soit retournée amé- liorée par vos observations. J'espère que, de votre côté, vous m'aurez trouvé tout-à -fait pliant, et toujours prêt à entendre vos raisons, c'est-à -dire la raison. Je ne vous parle pas de cette petite misère d'épigraphe ; ce n'est rien, et si votre scrupule m'était arrivé plutôt, j'y aurais mis bon ordre ; mais comme je vous disais, ce n'est rien. Priez, au reste, vos amis et je vous le dis avec franchise et confiance, essayez vous- même de traduire en douze syllabes françaises ovn dyxôov xoXvnocpxvÎY), sîs n.oîpxvo