page suivante »
220 LE GÉNÉRAL DE PRÉCY Marque de Farge. Son parrain a été Louis Jacquelot, écuier sei- gneur de'Chante Merle, tenu à sa place sur les fonds baptismaux par Gabriel Dumont. A été sa marraine ddle Françoise Perrin de Pressy, seure du susdit enfant, et a signée avec moy ladite marraine cl non ledit Dumont pour ne le scavoir enquis. Signé : F. DENEUFVILLE Curé d'Anzy-le-Duc. » Nous ne voulons pas, pour l'instant, refaire la biographie du comte de Précy : nous nous bornerons à joindre, à l'acte qui précède, l'extrait des registres de l'état civil de Marcigny, où il mourut dans un âge avancé : « Du vingt-six août mil huit cent vingt, heure de neuf du matin, acte de décès de M. Louis-François Perrin, comte de Précy, époux de Mme la comtesse Jeanne-Marie Cha- vanne de Beaugrand, lieutenant-général des armées du Roi, grand-croix de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, âgé de soixante-dix-huit ans, né à Anzy-le-Duc, demeurant à Marcigny, décédé le jour d'hier, à sept heures du soir, en son domicile, fils de feu François Perrin, écuyer, demeu- rant à son décès à Semur, et de feue Marguerite Marque de Farge, demeurant aussi à son décès au dit Semur. « Le présent acte a été rédigé sur la déclaration à moi faite par M. Gilbert-Claude Cudel de Moncolon, chevalier de Saint-Louis, âgé de cinquante-un ans, neveu du défunt, demeurant à Marcigny, et par M. Joseph Berchoux, pro- priétaire au même lieu, âgé de cinquante-neuf ans, aussi neveu du défunt. Lecture faite, e t c . . » Disons, en terminant, que l'on croit généralement que