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ANNE »E GEIERSTEIN. 175 On vit, du chevalier L'ombre plaintive, Errant près du manoir Jusqu'à l'aurore, Et plus d'un croit le soir L'ouïr encore. Depuis ce jour Satan (On entend les pas d'un homme, d'armes qui monte pesamment l'escalier). (Avec effroi). Le voici ARTHUR. Qui? Satan? ANNE. L'intendant de mon père. (A Arthur qui se lève). Restez, soutenons sa colère. ANNETTE. Oui, faisons tête a l'ouragan. SCÈNE VI. Les Précédents, ITAL SCRKECKENWAIJ> , ITAL. Eh! quoi, déjà , charmante reine, Vous amenez des amoureux? ANNE. Chapeau bas en parlant a votre suzeraine. ITAL. Mon beau cavalier, à nous deux ; Que tout l'enfer me brûle de ses feux... :. ANNE. D'où vous vient donc tant d'insolence?