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ANNE DE GEIERSTE1N. 167 PHIL1PS0N. Puis-je compter sur votre obéissance ? AKTHÃB. Mon Père ! PH1LIPSOM. On veut nous dépouiller, On veut, non notre vie, hélas ! mais nos richesses ; Rien de plus. Voici le collier Il doit vous introduire auprès du Téméraire, Passez le Rhin. ARTHCR. Sans vous ? jamais ! PHIL1PSON. Est ce a son père Que mon Arthur a dit : jamais ? Dans le chemin si je tombais Qui donc pourrait nouer les (Us de ce mystère? Partez, mon fils, soyez heureux. Ainsi du moins l'un de nous deux Remplira le but du voyage. Le Duc en recevant ce gage Nous donnera des soldats et de l'or, Nous pourrons guerroyer encor Pour Lancastre et pour l'Angleterre, [Il fait signe aux bateliers). Silence ! SCÈNE IX. Les Précédents, BATELIERS. ARTHUR. Bénissez, mon Père, Bénissez votre fils. PHIHPSON le pressant dans ses bras. Mon enfant, mon trésor!