Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
                           BIBLIOGRAPHIE.                            413

par une lettre qui est elle-même une longue et solide disser-
tation; mais, vers la fin de sa lettre, quittant le sujet qu'il
venait de traiter, pour me parler de l'intention où on lui
avaitdit que j'étais de parler de lui dans la Revue du Lyonnais,
il me dit:
    « Cette espérance qui me fut tout d'abord très-précieuse,
« l'est devenue plus encore depuis la lettre que j'ai reçue
« de vous. // y a à Lyon une école philosophique qui a toutes
« mes sympathies            (1). Je serais très^honoré si mon
« livre pouvait être connu et approuvé de cette école. »
   C'est avec bonheur que je transcris ces lignes et que je
fais parvenir à l'adresse de l'école lyonnaise les paroles par
lesquelles un juge éminent lui rend hommage et, en sollicilan t
son suffrage, lui en accorde un si flatteur. 11 me serait doux
de valoir quelques admirateurs de plus à un de ces hommes
rares qui consacrent une vie laborieuse et de hautes facultés
au culte de la science et à la défense de la vérité chrétienne.
Lui qui nous donne toutes ses sympathies, où pourrait il es-
pérer d'en trouver de plus nombreuses et de plus franches
que parmi les sages etfidèlesLyonnais?
                                       Clément GOURJU,
                            Directeur des études à l'Assomption de
                                  Clichy-la-Garcnnc, près Paris.

   (1) Je supprime ici un compliment dont je me sens peu digne et qui me
vient de l'honneur que j'ai eu de représenter pendant, deux ans l'école
lyonnaise à Rennes.