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76                        ANNE DE GE1ERSTE1N.

                                PHILIPSON.
                                   Je crois, la sagesse.
                              B1EDERMANN.
            Vous pouvez ajouter encor
            Un bon accueil" dans la détresse.
                                 QUATUOR.
          B1EDERMAKM.                              ANNE.

Mes amis, partagez cemodeste repas; Soyez les bienvenus, partagez ce repas;
Vous arrivez d'une course lointaine. Vous êtes fatigués d'une course lointaine
 Béni soitDieu d'avoir guidé vos pas
  Dans les champs qui sont mon do-
                              maine.
        PHILIPSON.                                ARTHUR.

  Il est bienvenu ce repas               Merci d'avoir guide nos pas,
  Après une course lointaine.           Vous, de ces lieux aimable châtelaine;
 Béni soit Dieu d'avoir guidé nos pas    Mais ici, je le dis tout bas,
  Dans les champs de votre domaine.      Je crains de trouver une chaîne.

                        BIEDERMANN «        FtlUipSOn
        A l'étranger battu par les autans
          Offrir un abri tutélaire
          Fut un devoir dans tous les temps.
        Et ce devoir, après moi, je l'espère.
           Sera rempli par mes enfants.
      Vous êtes voyageurs et marchands ?
                                PHILIPSON.
                                                 Nous le sommes
                               BIEDERMANN.
             Anglais?
                                 PHILIPSON.

                          Nous avons cet honneur
                               BIEDERMANN.
             Le commerce enrichit les hommes,
             Mais aux dépens de leur bonheur
             Simples vertus de mes ancêtres,