Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
IÃ8                 HISTOIRE DU COUVENT

effets de cette mesure, mais leur opiniâtreté eut raison de
la sagesse de l'administration communale. L'appui éclairé
du Roi leur ayant fait défaut, l'esprit plus faible d'une Reine
interposa entre eux et le Consulat son patronage et les fit
recevoir.
   IV. Fondations. — 1310. — Testament de Henri de
Ravenne, chanoine de Digne, sigillifer de la cour de l'offi-
cial de Lyon: Item fabrice ecclesiecarmelittorum decemsolidos
vienn. semel lego. (Note communiquée par M. V. de Valous
sous-biblioth. au Palais des Arts.)
   1376. — Accord passé entre le prieur et les religieux du
couvent et Pierre de Villeneuve, par lequel les premiers
s'obligent à célébrer dans leur église neuve et au grand
autel une messe. Acte reçu par Léonard Brunel, 28 juin 1376.
   1412, 10 décembre. — Estienne Manissier et Janete Bolo,
sa femme, barbier, habitant Lyon, ont élu sépulture dans
la chapelle du Saint-Sépulcre, bâtie par eux dans l'église
des Carmes. Pierre Fissoti, notaire.
   14JI, 2 septembre. — Mandement aux prieur et couvent
des Carmes de la ville, de la somme de 100 sols tournois
pour employer et convertir à la réparation de leur église,
laquelle naguère est tombée. D. C.
   1482, 13 avril. — Testament de veuve Vasco, élisant sa
sépulture dans le couvent des Grands Carmes de Lyon, et
dans la chapelle de Saint-Eutrope, proche le tombeau de
son mari. Savary et Planchot, notaires.
  I
   49S> S mars. — Jeanne, mère de Pierre Masson, élit
sépulture dans l'église, devant l'autel des 11,000 vierges.
  1J14, $ janvier. — Pierre Cressaud, boulanger, fonda
une messe à dire dans la chapelle Saint-Honoré, construite
par les boulangers de Lyon et où les religieux lui donnent