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LE SALON LYONNAIS 391 PERRACHON. — 444, 445, 446, 447. —Roses. Où donc as-tu pris ces couleurs Si délicates et si fines ? Pour peindre ces superbes fleurs, Où donc as-tu pris ces couleurs? Vos parfums émeuvent nos cœurs, Roses blanches ou purpurines ! Artiste, où pris-tu ces couleurs, Si délicates et si fines ? Roses noisette ou roses thé, Blanches ou roses, l'on vous aime; Vous êtes toujours la beauté, Roses noisette ou roses thé. Sur la mousse au ton velouté, Ou dans un verre de Bohème, Roses noisette ou roses thé, Blanches ou roses l'on vous aime. 448. — Les deux couronnes, l'une après l'autre. Philosophe aussi, tu nous donnes Une leçon avec des fleurs. L'amour connaît ces deux couronnes : C'est toute l'histoire des cœurs. IMENEZ. — 321. — La Nourrice. Vous connaissez les secrets des couleurs Et ces côtés brillants des belles choses,