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fliojjrajjlji» (onttmporoints. M. ALEXANDRE DUMAS, Le 11 février 1829, au plus fort de ce mouvement littéraire qui fit resplendir d'un si vif éclat les dernières années du règne de Char- les X, l'affiche du Théâtre-Français annonçait la première repré- sentation d'un drame nouveau. L'œuvre appartenait, disait-on, à l'école romantique; il n'en fallait pas davantage alors pour intéresser la foule. Aussi jamais enceinte n'avait offert un aspect plus animé que celle de la Comédie Française au jour dont nous parlons. A sept heures et demie, M. le duc d'Orléans, sa famille, ses amis et une nombreuse suite d'invités avaient pris possession des premiers rangs et le rideau s'était aussitôt levé au bruit d'acclamations universelles. -— Sans vouloir rendre compte des incidents de cette soirée, célèbre dans les annales dramatiques, et dont le souvenir est encore si près de nous, il suffira de dire que la bienveillance qui, dès les premières scènes, s'était manifestée en faveur de l'œuvre nouvelle, éclata bientôt en transports frénéliques. Les princes et leur brillant cortège, organisés en une sorte de claque aristocrati- que,donnaient le signal des applaudissements, auxquels repopdaiept