page suivante »
102 LA LONGEVITE. On a combattu mieux les poisons littéraires. J e plains nos bons journaux en laisse retenus : Beaux jours de février, qu'ètes-vous deyenus ? Docteur, a votre livre, ajoutez un chapitre : Enrayez, s'il se peut, le char du libre arbitre, Domptez vos p a s s i o n s , calme/ vos sentiments, Epurez le théâtre, expurgez nos r o m a n s , Pour prolonger nos jours rappelez-nous l'adage : La modération eni !e trésor du nage! L'emploi d'une âme saine est d'assainir les sens ; Quand le creur reste pur, le cirur bat plus longtemps. YlV. MoNTHKROT.