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ANNE DE GEIERSTEIN, 93 RODOLPHE, ARTHPR, Que votre bouche soit muette ; Nous pourrons un jour nous revoir, TOCS. Les voici ! les voici ! RODOLPHE, ARTHUR. Mais alors, je l'espère, Rien ne viendra nous déranger. (La foule se porte hors des ruines du château Albert de Geierstein parait devant les souterrains. Au moment où Anne entre dans la cour, elle suit des yeux Arthur qui s'éloigne. Ce dernier lui fait un signe d'adien. Anne s'arrête et rougit, elle se détourne et voit son père.j SCÈNE IV. ANNE, ALBERT DE GEIERSTEIN, ALBERT. Quel est donc ce jeune étranger Qu'elle suit du regard? ANNE. Mon père ! {Elle s'approche en courant. Albert dépose un baiser sur son front, lui remet une lettre et lui recommande le silence. Anne jette un coup d'œil sur l'écrit.) ANNE. Je vous obéirai. SCÈNE V. BIEDERMANNjPHILIPSON, le PORTE-BANNIÈRE d e Berne,DÉPOTÉS delà Dièle, RODOLPHE, LES FILS BIEDERMANN, ANNE. paysans, LA FOULK. Victoire au landamman ! Au président de l'assemblée ! A Geierstein !