Revue du Lyonnais » série 4 - n°2 ( 1876 ) » pp.578

578                      CHRONIQUE LOCALE.
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connaît les votes lyonnais, les agissements des librer penseurs et le
pouvoir tout puissant des ennemis de l'Eglisef ces immenses
illuminations sigénérales, si spontanées et d'au tan 1 plu s belles que
les quartiers sont plus pauvres, sont un mystère ôjns lequel s'en-
jioutit et se perd la sagesse de l'esprit humain.    Ie
   — Le 30 novembre, un groupe d'amis dévoué* et l'tristés condui-
»ait à sa dernière demeure un peintre de méritefJean François
Montessuy, né à Lyon le 17 pluviôse an xn, 7 février 1804, décédé
subitement dans la même ville, le 27 novembre, après un affaiblisse-
ment progressif qui, depuis quelques années, ne lui permettait plus de
tenir le pinceau.
   Cet artiste, qui a des œuvres remarquables dans notre musée des
peintres lyonnais et au musée du Luxembourg, est moins connu en
France qu'à Rome et surtout à Londres, où il a exécuté de grands et
beaux travaux, qui sauveront son nom de cel oubli si terrible et si
redouté.                                                A. V.




                          ERRATUM


  Par une faute de mise en pages la Revue de novembre
au lieu de commencer à 3 2 1 a commencé à 4 2 1 , c'est
donc cent pages dont il ne faut pas se préoccuper.




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