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484                     BIBLIOGRAPHIE.

livres que je jugeai à propos de faire entrer dans cette
vente. Une autre partie assez riche (ancien théâtre et
vieux poètes) devait avoir une autre destination.
   M. Ri voire est donc incapable à tous les points de vue
d'avoir pu apprécier la nature et la composition de cette
bibliothèque, car j'affirme qu'il n'a jamais été admis par
mon père ni par moi â la visiter .
   D'autre part, je crois devoir constater la parfaite exac-
titude des renseignements que vous a fournis M. Steyert
et qui ont servi de prétexte à la diatribe de M. Rivoire.
   Tout en regrettant, Monsieur le Conseiller, qu'on ait
surpris ainsi votre bonne foi, je vous prie de me permet-
tre de me dire,
                         Votre très-humble serviteur..
                                          P. RANDIN.



       Monsieur et honoré Directeur,

   La Revue du Lyonnais a publié dans son fascicule de
juillet une lettre de M. Rivoire dont je regrette l'inser-
tion parce qu'elle attaque la mémoire d'un honnête et
excellent homme, et aussi parce qu'elle est inutile. Il
suffirait en effet de relire les lignes que j'ai pris la liberté
d'adresser à Monsieur le conseiller Niepce, et qu'il m'a-
vait fait l'honneur de reproduire, pour constater que
son correspondant m'attribuait des assertions que je
n'avais jamais avancées.
   Ainsi M. Rivoire prétend que je traite de « réthorique
spéciale et de circonstance » l'autorité de M. Claudin en
matière bibliographique. Ce reproche est absolument
faux ; j'ai qualifié de « réthorique spéciale, la notice bio-
graphique sur MM. Randin et Rostain, insérée en tète