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168 LE BOUQUET FATAL.' FRISETTE. Fiche-moi la paix, toi-même, grand serin ! au secours ! LUCETTE (lui faisant la niquej. Va-t-en voir s'ils viennent. FLORIMOND. Moi, je propose un arbitrage, un jugement de Paris. RAOUL. Impossible. Elles ne sont que deux : Vénus et Junon ; il manque une Minerve. 1 FRISETTE (pleurant, . Hi ! hi ! hi ! LUCETTE (riant aux éclats). Ah ! ah ! ah ! FRISETTE. C'était bien la peine de m'amener ici, dans ce charnier pour me faire avoir de pareilles scènes. LCCETTE (toujours riant). Ah ! ah ! est-elle drôle ! Oh ! là là ! - FRISETTE. Mais aussi, quelle idée saugrenue ! idée de croque-mort ! Après Mabille où nous avons tant ri ; après la Maison d'Or où nous avons tant bu, ces messieurs trouvent du dernier galant de nous faire saluer l'aurore à Montparnasse ! foi de Crevette, c'est épatant. LUCETTE (riant toujours).2 Ah! ah! ah! Sais-tu, ils sont peut-être actionnaires des Pompes funèbres,.... déguisés. FLORIMOND. Ou en retrait d'emploi. (Rire général). FRISETTE (riant aussi). Ah! ah! ah!