page suivante »
-h « PAUCA PAUCIS » 28j Mais il faut se borner. J'avais noté pour les transcrire des passages des diverses parties du livre. J'y renonce. Il est impossible de suppléer à la lecture de cette œuvre si pleine par une notice, cette notice eût-elle toute la science de M. Renouvier, tout le charme du style de M. Anatole France. Il faut lire Pauca, le lire comme j'ai fait, de long en large, de gauche à droite, et de droite à gauche. Dans les Partageuses de Gavarni, une femme qui n'a plus d'illusions laisse tomber ces mots : « L'homme qui me fera rêver sera un rude lapin. » Eh bien ! un volume de vers qui passionne, qui fait rêver, au jour d'aujourd'hui, comme on dit dans mon village, c'est, j'imagine, un rude livre. Th. DOUCET.