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                          LAMARTINE ET SA FAMILLE.                                 473
leur dite fille entrera en possession àleur décès, elle rapportera à la
succession paternelle la somme de trente-quatre mille livres.
   Dame Marie Anne de la Martine, veuve de M Claude Chambre,
                                                   â„¢
trésorier des Etats de Maçonnais, constitua à la demoiselle future, sa
petite fille, par donation entre vifs, une somme de 6000 livres qu'elle
lui avait léguée par son testament.
   (Grosse papier signée du dit notaire.)


                                         IV.

                                     LISTE
lies membres de la famille de la Martine ayant eu entrée aux
            chambres de la noblesse du Maçonnais,
      avec année de leur réception, d'après M. Arcelin.


27 décembre 1676. De Lamartine, seigneur d'Hurigny.
25 juillet  1679. Philibert de Lamartine, seigneur d'Hurigny.
23 mai      1685. Philippe de Lamartine, seigneur d'Hurigny.
                  Jean-Baptiste de Lamartine.
                  Jean-Baptiste de Lamartine, seigneur de Verne.
 7 mai      1688. Jean-Baptiste de Lamartine, conseiller.
27 mai      1691. Jean-Baptiste de Lamartine, conseiller au bail-
                      liage.
29 juin     1697. Jean-Baptiste de Lamartine, seigneur de Saint-
                      Ligier.
15 juin     1700. Jean-Baptiste le Lamartine.
                   Philippe-Etienne de Lamartine, seigneur d'Hu-
                      rigny.
                  Jean-Baptiste d'Hurigny (1), seigneur de Saint-
                     Ligier.

   (1) Ce d'Hurigny n'est autre (rue Jean-Baptiste de Lamartine', seigneur d'Hurigny,
indiqué précédemment. Il n'existait aucune famille du nom patronymique d'Huiigny •.
ce fief appartenait avant 157i à Ennemond Seyvert, maison noble originaire du Beau-
jolais, en faveur de laquelle Hurigny avait été érigé en fief et inféodé par lettres de
juin 1510 : puis il avait par mariage passé aux de Pise, dont Antoine de Pise, éeheviu
à Màcon en 1150, et des de Pise aux Alamartine , suivant l'alliance indiquée dans le
manuscrit de M. Lacroix.