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                         J,A   DIANA.                   447




                      RÉSUMÉ :




   Et maintenant, pour résumer ce travail, voici le résultat
que nous pouvons considérer comme acquis : sur les qua-
rante-huit écussons reproduits chacun trente-six fois à la
voûte de la Diana, il y en a trente et un parfaitement con-
nus et qui appartiennent incontestablement à des maisons
baronniales; douze, sur lesquels j'ai cru pouvoir présenter
des conjectures plus ou moins fondées et dont plus de la
moitié sont presque certaines, et seulement cinq complète-
ment inconnus. Quant aux maisons qui, d'après la formule,
des hommages que nous possédons pour les châteaux ou
seigneuries en toute justice, devraient peut-être figurer,
mais dont nous ignorons ou nous ne voyons pas les armes
à la voûte, elles sont en fort petit nombre. Ce sont d'abord
les maisons de Payen, pour le château d'Argental, et de
Retourtour pour le château de Saint-Just en Velay, deux
branches d'une môme famille, et dont les terres ne parais-
sent relever que du comte de Forez. A ces deux maisons, il
faut ajouter celle de Montboissier pour la vicomte de Mon-
deras, de Rochefort pour le cliâteau de ce nom, d'Auge-
gerollespour celui de Saint-Polgues, et de Raybi, cadette
d'Urfé, pour celui de Saint-Marcel. Mais, peut-être, le
sire d'Urfé rerprésentait-il à lui seul les deux branches de
 sa maison.
  On voit donc que le problème de la Diana se trouve au-
jourd'hui serré de bien près. Pour moi, il n'est plus dou-