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IL V A CENT CINQUANTE ANS 211 s'accordent pas ; le choc des vents ou l'éloignement empê- chent de les entendre : de là naissent, comme on sait, bien des inconvénients auxquels on peut remédier par une horloge domestique. Le sieur Alexis Perrard qui les travaille lui-même et qui depuis trente ans fréquente Lyon, avertit le public qu'il vient régulièrement chaque année aux foires de Pâques et de tous les Saints. Ceux qui en voudront faire emplette peuvent s'adresser au sieur Henri Vuillerme, maître tourneur, rue Neuve, près de S'-Nizier, chez qui il en envoie d'avance. Il donne toutes les sûretés raisonnables qu'on peut désirer. — Mercredi 23 mars 1757. Beau et bon Billard avec ses billes, masses et queux et son ciel de cuir. Le prix est de 324 livres. S'adresser au sieur Tissard, rue de la Vieille-Monnaie, Maison Balmont. — Mercredi 13 avril. On voudrait acheter de rencontre, une Caisse de bois ou de fer, pour serrer de l'argent. S'adresser à MM. Antoine Fabre, père et fils et compagnie, rue Neuve. — 20 juillet 1757- A vendre un petit billard tout neuf de sept pieds et demi de longueur, sur trois et demi de largeur. S'adresser au Café de la Comédie, chez le sieur Rival. — 15 février 1758. A vendre Pendule sonnant heures et demi-heures, à répétition d'heure et quart d'heure, à réveil, arrêt et remon- toir, avec le mouvement de la lune, suspendu au bas du cadran ; ledit cadran est émaillé et de neuf pouces de large, dans un joli cabinet verni en verd ; les moulures dorées et du dernier goût, venant de la Chaudefont en Suisse. S'adresser au sieur Guillard, rue Grenette, vis à vis celle du Char bon-blanc. — 15 février 1768.