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                    HISTOIRE D'AMPLEPUIS                   99

 bonté du Seigneur qu'il prie d'accepter qu'il lui rende en la
personne de ses pauvres, en satisfaction de ses péchés, de
 ceux de son fils, de sa fille et de tous ses parents.
    27 décembre 1717. — Le granger duCluzel tient 42 brebis,
les essements du domaine consistent en 50 bichets de seigle,
2 de froment, 2 d'orge, un de graine de chanvre, un de
blé noir, 20 raz d'avoine, un bichet de blé tramois et une
mesure de pesettes.
   Après 1720. — M. de Conte, ancien curé d'Amplepuis
certifie que Philibert Georges son paroissien n'est lié par
aucune censure ecclésiastique, ni infecté d'aucune erreur
ni mauvaise doctrine, qu'il est de bonnes mœurs et réputa-
tion, et religieux observateur de la religion catholique,
apostolique et romaine ; c'est pourquoi, si en allant ou
revenant de Paris, il a besoin de quelques secours et conso-
lations chrétiennes, il prie de ne les lui pas refuser.
    I er février 1721. — Par le contrat de mariage de Claude,
fils de feu Pierre Guyot et de feue Claudine Grollet avec
Françoise, fille de Jacques Giraud et de Claudine Goulloud,
habitants de la paroisse d'Amplepuis, ces derniers se
réjouissant de ce mariage constituent à leur dite fille la
somme de 300 livres, un lit garni de coistre et coussin de
basle, couverte de bureau de layne de pays, son tour de
cadis, 4 Hnceulx, un coffre fermant à clef, demy-douzaine
de serviettes Venize de Rigny, une nappe de même Venize,
son menu trousseau et un habit nuptial.
    3 décembre 1722. — Nicolle Vacheron, veuve de Benoist
Ponteille fait son testament. Lègue à Jean Ponteille, son
fils, une arche bois chesne qui est au domaine des Plasses,
un grand pot de fer, une méchante couverte de bureau,
10 livres d'œuvre chanvre, 3 aunes virey, 4 draps grosse
toile, une serpillière, une juppe droguet brun quasi neuve,