Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
           FRANÇOIS DE ROYERS DE LA VALFENIÈRE.         487

egenos distribua, domesticarn disciplinam, perfecit.
 Tempus deficiai si omnes earum laudes recenseantur.
 Virtutes omnes meditare, et eoruni vitce summam col-
liges.
   Obiit Anna anno 1672 4 f'ebruarii, prœfecturœ anno
22, Å“tatis 43. Antonia vero anno 1708, 25 maii, regi-
minis anno 36, Å“tatis 75. Quam titiste initam augusto
loculo flêre compositas tanta dornûs autores ; sit in pace
locus earum.
   Nous ne pouvons adresser ni éloge ni blâme à notre
artiste à l'égard de son portique intérieur ou cloître : car
il ne nous est pas prouvé qu'il soit de sa composition.
Pourquoi a-t-on voulu y répéter dans l'intérieur l'ordre
extérieur et le couronner d'une longue voûte continue ?
Les arcs sont trapus, le cloître manque de jour, et la
voûte pousse néanmoins au vide. Il eut été préférable que
l'on eût élevé les arcs de façon à les faire pénétrer dans
la voûte ; elle eût poussé encore, mais on eût pu la forti-
fier, comme en Italie, par ces chaînages transversaux que
l'architecte Dardel n'a pu se dispenser de poser tout de
même.
   L'ordre de ce portique était ainsi couronné d'une
grande surface lisse, coïncidant avec la hauteur de la
voûte, que la toiture projetée en principe eût diminuée.
L'architecte que nous venons de nommer, voulant atté-
nuer cet effet peu monumental a rempli cet espace par
des panneaux enrichis de reproductions de bas-reliefs
antiques.
   On l'a critiqué d'avoir substitué une galerie à balus-
tres, avec acrotères, statues et vases, à la balustrade
en fer forgé qui avait été posée en 1685. M. Dardel a fait
observer que cette balustrade, restaurée à diverses
époques, offrait des dessins de toutes formes et de