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NOTICE SUE LE MONUMENT F U N È B R E D'UN ESCLAVE LIBRARIUS. En commentant une lettre de Pline le jeune dans laquelle il est ques • tion des bibliopolœ que possédait, à son époque, la ville de Lugdu- WMJW(1), j'ai eu occasion de dire quelque chose de ces hommes adon- nés à l'art d'écrire, en prenant ce mot dans le sens le plus matériel, que les anciens appelaient librarii. Mais je n'ai parlé de ces der- niers que d'une manière très accessoire, me bornant aux relations établies naturellement entre ceux qui écrivaient les livres, et les marchands qui les vendaient. Pour cette raison, je n'ai pas cru de- (i) Sup., p. 67-87. 7 )