page suivante »
LE BONHEUR. Le soir les vieux récits et les longues lectures Près du foyer brillant et clair, Lorsque le vent hurlant sur les somhres toitures Fait songer aux esprits invisibles de l'air ; Le chant du vendangeur qu'on entend sur la roule Et le pas du cheval sur les cailloux roulants. L'eau qui sur le rocher retombe goutte à goutte, La cloche des agneaux et la voix des enfants— Le fouet du muletier et, les champs de bruyères, Les châtaigniers verts et touffus, Dans la plaine, ic soir, Tcglise de Gravures (1) Dont la cloche s'ébranle et sonne l'angelus ; Devant notre demeure, aux tourelles noircies, La pelouse qui suit la pente du coteau ; Quand revient le printemps aux brises radoucies Quand la mousse verdit sur les toits du hameau ; fj) Iïe.-iu village de l'AriM'Che ™r la peviie rh'ière de CliasFPzac, 28