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127 deux inscriptions latines sur les autres faces (1). Le premier de ces bas-reliefs représentait la France, assise sur un char traîné par des Tritons, et parcourant en dominatrice les vastes domaines de Neptune. Le second représentait les députés des états de Bre- tagne, admis à l'audience du roi, et présentant à sa Majesté les « étude s il se fit amener seize ou dix-sept des plus beaux, chevaux des écuries du «xoi, choisissant entre ces animai», choisis eux-mêmes, les plus belles formes « qui distinguaient chacun d'eux, les observant dans l'état de repos et dans tous « leurs mouvemens, fixant dans sa mémoire, retraçant sur du papier ou imprimant « dans la terre ou la cire les mouvemens les plus fugitifs, s'mslruisaut ainsi par « lui-même et par les leçons des plus habiles écuyers, perfectionnant enfin toutes « ces études en les appuyant sur la base de l'anatomie, et faisant lui-même des « dissections de chevaux. » On peut juger, d'après de pareilles études, le mérite que devait offrir le tra- vail de Coysevox. (1) La première de ces inscriptions était ainsi conçue : LVDOVICO MAGNO, Pio, felict, semper augusto, Ârmorica Amplissinds portubus ornata, l iriusque indiœ commercio dilata, Anno M.DC.LXXXY, Eegni XLII1, VOVERAT. Anno M.DCC.XXVl, post obitum XI, Virtutum, beneficioi'umque memor, Communi omnium ordinimi plausu Posuil. Voici la seconde inscription : Equestrem hanc statuant, Totiûs armoricœ impendio i Conflatam et ornatam, CIVITAS RHEDONENSIS, De pecuniâ Ad resarciendas Urbisnuper incensœ ruinas, Sibi à comiliis attribut â, Advehendam et collocandam Curavil.