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                      ET SA FAMILLE                      353

ses cousins maternels; de Monseigneur de la Roche-Guyon,
son cousin maternel ;                                   '
   « Et de la part de Mademoiselle de Luxembourg, - de
Monseigneur le duc de Montmorency, son frère ; de Mon-
seigneur le comte de Ligny, aussi son frère; de Mon-
seigneur le prieur de Ligny, son oncle; de Monseigneur le
duc d'Olonne, son cousin; de Madame la duchesse
d'Olonne, son épouse ; de Monseigneur le duc de Luynes ;
de Madame la duchesse de Luynes, son épouse, cousine
de Madame la duchesse de Chevreuse; de Madame la du-
chesse de Brissac, première douairière de Monseigneur le
duc de Tresme; de Monseigneur le duc de Chaulnes; de
Madame la marquise de Sassenage; de Monsieur le mar-
quis de Leuze ; de Madame, son épouse; de Monsieur le
comte de Fiennes et de Madame de Harlay;
  « C'est à scavoir que le dit seigneur, duc de Luxem*
bourg, a promis donner en mariage la ditte demoiselle
Marie-Renée de Montmorency-Luxembourg, sa fille, de
son consentement, au dit seigneur François-Louis de
Neufville, marquis de Villeroy, lequel de sa part, assisté et
autorisé de mes dits seigneurs duc et maréchal duc de
Villeroy, SPS père et aïeul, a promis la prendre pour sa
femme et légitime épouse. Lequel mariage les parties pro-
mettent réciproquement faire célébrer en face de Sainte
Eglise, le plus tôt que faire se pourra. »

   Suivent ici les conventions matrimoniales et toutes les
stipulations concernantla fortune des deux jeunes époux.
   Ces détails sont trop longs pour que nous les rappelions ;
toutes les éventualités sont prévues et particulièrement
si les époux mouraient sans enfants ou s'ils n'avaient que
des filles.