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sonnes SCHUBERT Si parfois en hiver> par les nuits de brouillard^ Vous vous trouvez enclin à la mélancolie, Prenez alors Schubert et, Tournant au hasard, Vous sentirez soudain le souffle du génie. On reconnaît là grâce à l'œuvre de Mozdrt; Weber a la fraîcheur, Beethoven Vharmonie, Gluck traduit la passion dans la langue de l'art, Schubert nous a laissé l'histoire de la vie. Il connut le malheur, il lui fallut souffrir, Et sa douleur s'exhale en un vague soupir, Qui passe inaperçu dans les fêles au monde. Pour entendre et saisir ce sublime rêveur, Il faut se recueillir en une paix profonde, El jeter dans son chant lé cri qui vient du cœur. G. DANZAS. N° 4. — Octobre 1S87. 21