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LE 104 DERNIER DES VILLEROY « Mais Lyon est l'Olympe même, Le centre et cœur de l'univers (8), Ville, ô Herme que tu requiers Et qui sur toutes villes t'ayme I » On devine que Herme est pour Hermès, Hermès pour Mercure et Mercure pour d'Halincourt qui revenait de son ambassade à Rome. N'importe, on recevait une singulière éducation et on avait de bien bizarres idées au collège de la Trinité. Oserons-nous continuer ? Allons encore un peu plus loin, à travers ces champs de poésie ; cela nous distraira de ce que nos chiffres ont eu d'aride. Que vous pourra chanter Lyon, Après tant de belles fanfares, Que : Vive â jamais votre nom Contre les dents du Temps avares ! Lyon vivra Et durera, La bonne Ville, Vivant Neufville ! Hélas ! Neufville est mort, il n'y a plus de Villeroy et Lyon vit quand même ! Finissons par cette pluie d'anagrammes, c'était un genre singulièrement cultivé dans la savante maison : Carolus de Neufville, prorex. Salve per me,floreLugduni cor. (8) Un écrivain moderne n'a-t-il pas appelé la Guillotière : jardin de la France ?