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(foummt frime le Jitiîri, MARSEILLE. Promenade 'dans Marseille. — Les églises. - - L'arc de triomphe de la porte d'Aix. — L'Obélisque de la place Castellane et M. de Talleyrand. — L'Hôtel-de-Ville. — La statue de Libertat. — Comment une fabrique de noir animal est devenue le Panthéon d'un grand homme. — Histoire de George Roux. Ce jour-là , c'était le 1 er octobre. Les grands journaux nous avaient appris que l'on se chauffait à Lyon et qu'il neigeait à Saint-Étienne. A Marseille, le soleil resplendissait de lu- mière et il y faisait une chaleur du mois de juillet à Paris. — Aujourd'hui, me dit M. J. M***, nous avons beaucoup à voir et fort à faire, fort à faire pour les jambes. Etesvous marcheur ? savez-vous flâner ? — Je suis Parisien, répondis-je, c'est tout dire. Il y a à Paris une foule d'honnêtes gens, mes compatrioles, qui ont employé vingt années de leur vie à se promener du passage du Panorama au boulevard des Italiens. — Ah ! si vos Parisiens avaient au bout de leur boulevard 2