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£t* &ept |3n:l)te ntartHe. PROLOGUE. Poètes au bras fort, rois nerveux de l'arène, À vous la lourde épée, arme du vrai danger ! Faible tauréador, je prends le dard léger Qui pince l'épiderme en l'effleurant à peine. Le moment est venu, l'hydre a rompu sa chaîne, Et dans les rangs du Cirque assemblé pour juger. D'avance il se désigne une proie à ronger. Haut le bras ! haut le cœur ! Le monstre en vaut la peine ! SI