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656                   LA REVUE LYONNAISE
basta I 97, mesle (misculat) I 138, testa I214, 219, honesta, festa
I 215, 218, monstra (monstrare) Il 98 ; — ascuta (auscultare) II
128 ;— espar gnant (origine inc) II 270 ; mais aussi : bonnèta I 220,
plutou I 18, dégoûta (Megustatum) II 21.
   S finale tombe le plus souvent : sert (sensum, franc, sens) II 4,
plu (plus) I 14, 171, non trovon (nos turbamus) I 22, pa (passum
franc, pas, négation) I 9, wa(nasum) II 150.
   La prothèse d'un e a lieu comme en français devant S impure : esta
(* statum) I 102, écoula (scholam) A 48, eschevin (*scabinum) II 247.



                                 N
  L'N a permuté avec r dans arma (animam) II 189.
  Le groupe N'R appelle comme en français l'intercallation d'un d
euphonique : cindre (cm(e)r&s), tindrou (ten(e)rum) II 116, 390.



                                    M
   A la finale en roman M se laisse remplacer par n : fan (famem)
II 406, ren (rem) passim. Et pourtant Vm finale n'est point rare en
lyonnais : tem (tempus) II \