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382 1ZERNORE j'ai citée plus haut), conférer à Guillaume, évêque de Belley, le droit épiscopal sur les églises d'Izernore. Le chrétien, en cultivant son champ, en rebâtissant sa demeure, réédifiait d'abord son église avec la foi robuste de ces temps-là ; mais le vieux temple romain, lui, personne n'y songeait, et c'est ainsi, mutilé par les premiers chrétiens, détruit ensuite par les barbares, que notre génération l'a retrouvé ! ;âfai Conservons donc avec soin ces précieux débris et ces souvenirs de l'Antiquité, ils ont fait dans les temps anciens la gloire de notre pays; ils l'illustrent encore maintenant. J'ai cru faire une œuvre utile en appréciant les travaux de mes prédécesseurs sur Izernore et en y ajoutant les ré- sultats de mes recherches. *. J'ai étudié aussi complètement que cela m'a été possible * ' le temple, la divinité»à laquelle il a été consacré, l'époque'** de sa construction, celle de sa ruine. J'arrive maintenant à la troisième et dernière partie de ' * cet ouvrage, aux monnaies d'Izernore. "Z E. CUAZ. {A suivre). ™^i§Èm£^