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A A A A A A A à , A» A, A A i à ck ck A, .& A, A A,_ A_ IJBBaBK^»i»apa^ •:{? -jf,' 'if "jf.' rjj.' -3j? ^ -jp "jf "af?'1^? '^e op "sp yp "af,' "3jp ^ -jp r f r y rap* SOCIÉTÉS SAVANTES ' 2 j / K S CADÉMIE DES SCIENCES, BELLES-LETTRES ET ARTS DE LYON. — S^!*» Séance du 7 mars 1893. — Présidence de M. le comte de Charpin-Feugerolles. — M. Charles André donne lecture du rapport -qu'il a adressé au Ministre de l'Instruction publique, au sujet de son ascension aérostatique du 27 septembre 1892, pour l'étude de l'électri- cité atmosphérique. Dans ce rapport l'orateur décrit d'abord les divers Appareils dont il devait se servir et qui sont employés généralement à l'Observatoire de Lyon. Mais le gonflement du ballon subit beaucoup de lenteurs et à peine s'était-il élevé qu'il redescendit avec une grande rapidité. Toute observation devint dès lors impossible. Il ne fut pas même possible d'assurer la descente, qui se fit dans des conditions dé- sastreuses, près de Chatillon-sur-Chalaronne. Séance du 14 mars 1893. — Présidence de M. le comte de Charpin- Feugerolles. Hommages faits à l'Académie, par M. Vachez : J.-Bapt. Onofrio,sa vie et ses œuvres; par M. le comte de Sparre : Notice sur h tir courbe. — M. Gobin, complétant les renseignements donnés par lui sur la question des eaux, confirme que si parfois les eaux de la Com- pagnie sont troubles, cela tient à des causes purement accidentelles, et tout à fait momentanées ; car la prise d'eau directe dans le Rhône n'existe pas. Les puits de filtration sont recouverts d'une couche de gravier de 2 mètres d'épaisseur, et chacun d'eux peut donner jusqu'à 10.000 mètres cubes d'eau par jour. — M. Locard ayant observé que c'est peut-être au moment des crues que les microbes offrent le moins V." 4. — A.vril 1893 18*