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JEAN-BAPTISTE ONOFRIO SA VIE ET SES ŒUVRES ORSQJJE M. Onofrio mourut, je fus appelé à rendre, au nom de l'Académie, un hommage bien légitime à ses talents et à ses vertus. Cet hommage, j'ai dû le renouveler depuis, dans le compte rendu que le Bâtonnier doit à ses confrères, à la fin de l'année judiciaire. Enfin, à l'audience solennelle de rentrée de la Cour de Cassation, du 17 octobre 1892, une voix éloquente a rappelé, avec une haute autorité, tous les éloges qui étaient dus à la mémoire du grand magistrat, du fin lettré et de l'homme de bien; Mais, par leur généralité même, ces éloges n'ont pu que faire désirer de connaître, avec plus de détails, la vie d'un