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tion des actes criminels sous ses successeurs démontra, en outre, que c'était
une faute politique). Aussi laissa-t-il accréditer le bruit qu'il avait confié au
général la place d'inspecteur de la cavalerie. Mais l'intervention du Ministre
de la guerre n'eut aucun succès : on ne trouve même pas qu'une réponse
quelconque ait été faite à sa lettre.
     (A suivre)                                         Edouard PERRIN.