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— 369 — Reusens, Eléments de paléographie, 1899. — Giry, V° Papier dans la Grande Encyclopédie, t. XXV, p. 989. — Xavier Roux, les papeteries du Dauphiné, Grenoble, s. d. — A Chronology of Paper (Paper and Progress, Londres 1917). etc., etc. (3) Dissertation sur le Papyrus, sur le papier de coton et celuy dont on se sert aujourd'hui. Mémoires de littérature tirés des registres de l'académie royale des inscriptions et belles lettres (1718-1733). (4) Das Schriftwesen im Mittelalter, Leipzig, 1871. (5) Historische Zeitschrift, t. XXVII, f° 143. (6) Compendio de paleografia e diplomatico, Padoue, 1870, p. 46. (7) Manuale di paleografia. (8) Eléments de paléographie, Paris, 1838. (9) Gerardi Meermann et doctorum virorum ad eum epistolœ atque observationes de chartae vulgaris seu linex origine. Edidit ac prefatione instruxit J. Van Vaassen, la Haye, 1767. (10) Auch ein Wort uber die Schwandnersche Urkunde vom Jahre, 1343, Nurenberg, 1805. (11) Beschreibung typographischer Seltenheiten, Mayence, 1801. (13) Essai sur l'origine de la gravure... du papier... etc, Paris, 1808. (13) Mémoires de la Société des Antiquaires de France, 1857, t. XXIII. (14) Etude sur lesfiligranesdes papiers employés en France aux xiv* et xv° siècles, Paris, 1868. (15) Voir Briquet, Recherches sur les premiers papiers employés en Occident et en Orient du x6 au n i f siècle, Paris, 1886, p. 34. (16) Meerman, ouv. cité. (17) Voir le fragment d'une lettre de M. Delisle, directeur de la Bibliothèque Nationale, à M. Briquet, ouvr. cité, p. 37. (18) Archivo storico italiano, 1885. « Carta di cotone e carta di lino ». (19) Rebut de vieux draps, ou étoffes. Qu'il nous soit permis ici, à titre de curiosité, de constater la bigarre destinée du mot pannus drap étoffe, qui, en passant par un terme de marine en est arrivé sans défor- mation phonétique à désigner en langage moderne ce que nous entendons par une panne d'automobile ou d'aviation. (30) A. Blanchet, Essai mr l'histoire du papier, Paris, 1900, p. 34. (31) Cet ouvrage a été traduit en français et analysé par M. Briquet, le papier arabe au moyen âge et sa fabrication, Berne, 1888. (33) On the making of Chinese Paper (The Journal of Asiatic Society of Bengal, III, p. 477-479). (33) Voir Blanchet, Essai sur l'Histoire du papier, Paris, 1900. C'est précisément le texte que nous avons rappelé plus haut à propos des recherches de MM. Girard et Giry. (34) Il en est de même pour les termes commerciaux en usage aujourd'hui. Par exemple, certaines papeteries anglaises ou françaises appellent le buvard qu'elles fabriquent « electrical absorbant », « buvard éponge ». Faudrait-il en conclure que ces buvards aient un rapport quelconque avec l'électricité ou qu'ils soient faits avec de l'éponge réduite en bouillies' Ce qui prouve que le terme de papier bambycin n'impliquait pas que le papier fût fait avec du coton, c'est que divers voyageurs (Marco Polo, Oderic de Pordenone (1317-1339), Guillaume de Rubrouck (1353-1355), cités par M. Blanchet (Essai sur l'Histoire du Papier) parlent du papier monnaie chinois fabriqué, ils le savent, avec de l'écorce de mûrier et l'appellent papier de bambace. (35) Programma scolastico di Paleografia, Florence, 1894, p. 33. (36) Le plus ancien papier de chiffe relevé par Bodmann est de 1300, avec un filigrane représentant un 9 ou un 6. Il le considère comme un mélange de coton et de chiffe. Ce papier a été identifié grâce aux recherches du D r Zoppi, bibliothécaire d'Udine, il provient de la papeterie de Cividale dont l'existence est antérieure à 1393. Bodman constate qu'à partir de 1334 le papier de chiffe a des pontuseaux très apparents, qu'il est satiné, sans longues fibres, l'eau ne le réduit pas en bouillie (caractères précis du papier bien travaillé et collé à la gélatine). Il y a sur ce point unanimité absolue de la part de tous les paléographes. Les premiers