Revue lyonnaise » n°10 ( 1885 ) » pp.417

                   LA   « MARSEILLAISE » DE MAZOYER                         4I7

                 III                                      III
Quoi! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !         Iloioïev vôfiov GToatiat!
Quoi ! ces phalanges mercenaires          Tïve; Tcpttt'aïvai cpxXayys;
Terrasseraient nos fiers guerriers !      IiTsîvoiev •Ây.wv vipwa; ;
Grand Dieu ! par des mains enchaî-        O'JK ÈXsuOapaiç, Zsù, r a î ; jrepalv
                                 [nées,
Nos fronts sous le joug se plairaient!    ÈfUV OÙ OUVXJJ.'.i 5<�Tt!

De vils despotes deviendraient            riOV/ipoî TIV5Ç i'(70VTKl,

Les maîtres de nos destinées !
Aux armes, etc.                                  MeÔ' OTCXCOV.....


                 IV                               •."••    i v

Tremblez, tyrans et vous, perfides,
Vopprobre de tous les partis !            Mepî^wv 7Î îvacïwv àpa!
Tremblez, vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix.            Ë<ïe-at Tvpa^êoi xaxaî{.
Tout est soldat pour vous combattre.      Ècjjiiv syyù; aa^riral TCXVTSÇ.
S'ils tombent, nos jeunes héros,          EiTCÎTCTOUUIV••^pwe;,
La France en produit de nouveaux,         ÂXXou; Trois? «Ppayyaa,
Contre vous tout prêts à se battre.       Ma^opiivou; xaÔ' ûnïç àtmxa .
                   !                             Me9' Ô7&wv
Aux armes, etc.




M w entrerons dans la carrière,           Èaéj/.eÔa, OTpsmwTai,
Quand nos aînés ne seront plus;           Ô^av âvopeç aux ÊCOVTOH •

Nom y trouverons leur poussière           H[/.îv ffapSGTai UTTOSÛÇ aÙTwv
Et l'exemple de leurs vertus.             Rai p.à97)j/.a TMV âpsTôv.
Bien moins jaloux dt leur survivre,       HiYiv
De les venger ou de les suivre.           H TOQ 9av«Tou $ô£av gçofsev.

 Aux armes, etc.                                 MeÔ' 07�XWV

            N° 60. — Décembre 188;.                                    27