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LA VENTE DE L'HOTEL DU GOUVEHNEMENT 4'J sur le dit emplacement, qu'au dessus de la dite loge, la bibliothèque publique sera pareillement construite et élevée, à la forme de la délibération du vingt-neuf décembre mil-sept-cent-trente et un, et que lorsque le Consulat sera en état de perfectionner ce double dessein, sa Majesté sera très humblement suppliée de lui permettre de vendre les deux maisons qui furent aquises en vertu de l'arrêt du trente et un mars mil sept cent cinq, pour le produit en être employé à une partie des dépenses de la construction de la loge. (Ce projet ne fut pas exécuté. ) « Que Monseigneur le duc de Villeroy instruit des vues du Consulat, des inconvéniens auxquels la loge, qui fut faite, il y a plus de cent quarante ans, est sujette et delà nécessité d'assigner un lieu certain pour y établir une nouvelle loge et y placer les différentes bibliothèques, dont les dits sieurs Prévost des Marchands et Echevins ont fait l'acquisition, et désirant de faciliter les opérations de commerce d'une manière convenable à l'intérest et à la réputation de la place de Lyon, auroit depuis quelque temps fait savoir au Consulat ses dernières intentions sur l'aliénation du dit hôtel et envoyé sa procuration à Joseph-Raymond Birouste était recteur de l'Hôtel-Dieu en 1748. On trouve, en 1785, un Birouste, chevalier de Saint-Louis. Aimé Bertin, né à Villefranehe, le 11 janvier 1687, mort à Lyon le 39 février 1752, fils d'Oisdard Bertin, seigneur du Villars et de Lucie Ramponnet, épousa, en 1715, Catherine Veuille dont il eut : !" François Bertin de Villars, éohevin en 1771 . 2° N . . . . commissaire de la Marine. Mathieu Girard qui porte les mêmes armes que Fraiiçois Girard éche vin en 1585,' fut présideat des trésoriers de France et épousa, en 1723 Thérèse Anisson fille de Jacques Ânisson échevin, dont il eut Mathieu Girard, marié le 30 aoust 17.î3, à Bonne, Marguerite-Olympe Clrret de Fleurieu. 4