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/ REVUE DRAMATIQUE. 207 après cela, que le palmier, chœur final, qui clôt avec une solennité sans emphase cette oeuvre de grande valeur. La partition du Feu du Ciel, dont j'ai relevé les princi- pales qualités, marque chez son auteur une étude appro- fondie de la musique, non-seulement en ce qui touche la science, source où tout homme patient peut puiser,"mais relativement à ce don, plus rare, d'agir puissamment sur les âmes et de connaître le point par où elles sont vulnéra- bles. Le mouvement, la vie, la passion l'animent : et c'est pour cela que je salue en M. Guimetune future et brillante recrue pour l'opéra français. Jules GUILLEMOT. Journal de Paria, 17 Février 1873. • ! •