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                                  LYON.

        EXTRAIT DES MÉMOIRES D'UN TOURISTE (1).




                                           Lyon, 15 mai 1837.


  Les rives de la Saône, à deux lieues au-dessus de Lyon,
sont pittoresques, singulières, fort agréables. Elles me
rappellent les plus jolies collines d'Italie    La beauté
naturelle du pays l'emporte sur tous les pavillons chinois

   (1) Nous empruntons au dernier ouvrage de M. Baile (Frédéric Stendhal)
les pages suivantes aui ont notre ville pour objet. Nous examinerons à notre
tour, dans notre arlicle bibliographie, la critique de l'auteur parisien. Nous
donnons ici, sans commentaires, les pièces du procès ; le lecteur y suppléera
et pourra prononcer avant notre jugement. Nous aurions pu multiplier encore
nos citations ; mais nous avons omis, pour ne pas nous répéter, les passages
sur lesquels porte la critique de MM. Roussillac et Leymarie. ( Voir leur
compte-rendu dans notre revue littéraire).
                                      (NOTE DU DIRECTEUR CE LK REVUE).